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Valenciennes à l'essentiel

Culturel ,  Historique ,  Pédestre à Valenciennes
5.3 km
Pédestre
1h 30min
Moyen
  • Ce circuit vous propose un tour d'horizon de l'essentiel à ne pas manquer lors de votre passage à Valenciennes

  • Ce circuit vous propose un tour d'horizon de l'essentiel à pas manquer lors de votre passage à Valenciennes.

    Une ville à découvrir à pied, au grès des ruelles, des places animées, des monuments incroyablement riches. Valenciennes a conservé de sa longue histoire, le sens des renaissances. Ici, l'Art est omniprésent, comme une seconde peau, la mémoire ancrée dans l'avenir.
  • Dénivelé
    33.19 m
  • Documentation
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Points d'intérêt
1 Les maisons scaldiennes de Valenciennes
La ville de Valenciennes conserve un groupe très original de maisons à pans de bois limité aux grandes villes du bassin de l’Escaut d’où son nom (Scaldienne étant un adjectif correspondant à « Escaut ») Lors de votre visite, ne manquez pas de découvrir cette architecture typique. La ville concentre à elle seule trois des sept dernières maisons de ce type subsistant le long de l’Escaut de Cambrai à Anvers ! (1 rue Askièvre, 12 rue de Famars et 94 rue de Paris). Ce type de maison est construit à partir de 1279, à une époque ou la ville, enserré dans ses remparts ne permet pas aux maisons de s’élargir. Elles se développent en hauteur par ajout d’étages. En façade, deux niveaux d’encorbellement permettent à la construction de surplomber la rue, de chercher la lumière et de gagner de la place sur l’espace public.
La maison située au n°1 de la rue Askièvre, abrite l’Office de Tourisme. Elle était primitivement installée au carrefour des rues de Mons et des Capucins. Elle fut, pour raisons d’urbanisme, démontée, transportée et remontée sur un soubassement de grès à son emplacement actuel. La maison du n°12 rue de Famars comporte un remarquable pignon en auvent, avec ses aisseliers dessinant un arc en tiers-point. Celle, enfin, du 94 rue de Paris est une « reconstruction » à partir d’éléments architecturaux subsistants. Elle abrite le siège du Comité de Sauvegarde du Valenciennes.
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2 Basilique Notre-Dame du St-Cordon
La basilique Notre-Dame du Saint-Cordon représente une étape essentielle du renouveau de l’architecture et de l’art sacré dans les régions de la France septentrionale. Avec cet édifice construit entre 1852 et 1865, l’architecte arrageois Alexandre Grigny signe la première réalisation d’une grande église paroissiale de style néo-gothique dans le nord de la France. Ce projet stimulera deux ans plus tard, celui de Notre-Dame de la Treille, future Cathédrale de Lille.

L’église qui est érigée au rang de basilique mineure en 1922, présente une grande unité architecturale et décorative. La présence dans la ville d’une École Académique de haut niveau explique les choix artistiques réussis en matière de mobilier et d’ornementation peinte et sculptée (le décor sculpté est l’œuvre de Charles Boulanger, Ernest-Eugène Hiolle et Louis Auvray). L’édifice est construit pour servir de lieu de pèlerinage à Notre-Dame du Saint-Cordon qui est la protectrice de Valenciennes depuis le XI siècle. Elle est le ciment du miracle du St-Cordon déposé par la Vierge afin de sauver les habitants d’une épidémie de peste en 1008, et constitue le symbole de la foi fervente des Valenciennois.

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3 L'Enclos du Béguinage
Cette ouverture en arcade, que l’on pouvait fermer la nuit, donne encore accès à un rang de 13 petites maisons en pierre et brique refait au XVIII° siècle, où ont vécu les béguines. C'est essentiellement pendant le XIIIe siècle que se développèrent les créations de béguinages. Initialement, nombre de ceux-ci furent rattachés à un hôpital, pour une partie au moins de leur activité : tel fut le cas en particulier pour le Béguinage de Valenciennes. Mais rapidement les fondations de béguines devinrent indépendantes de toute activité hospitalière et la dénomination de « béguinage » fut réservée à un type d'établissement bien spécifique. Uniquement réservés au sexe féminin, les béguinages accueillaient celles qui désiraient s'éloigner du monde sans, toutefois, prononcer de vœux religieux et sans être soumises aux règles d'un monastère fermé. Les béguines disparaissent au moment de la Révolution et le béguinage est considérablement réduit par les remembrements et la création de nouvelles rues.
4 Jardin de la Rhônelle
Créé entre la fin du XIXème et le début du XXème siècle par Henri MARTINET (1867-1936), le parc « à l’anglaise » de la Rhônelle, d’une superficie de 5 ha, tire son nom de la rivière qui le traverse. L’architecte paysagiste a déterminé sa conception autour de deux éléments forts : c’est d’abord, la rivière et sont point emblématique d’accompagnement ; la tour médièvale de « la Dodenne ». La rivière constitue l’épine dorsale de son projet, l’eau servant initialement à alimenter le bassin principal et la cascade de la grotte. C’est ensuite, l’Art des jardins à la mode à la fin du XIXème et au début XXème. De style anglais depuis 1904, le parc reprend le principe de lignes courbes accompagnées de modelés de terre importants, le tout entourant un étang laissant la place au « romantisme ».
Henri Martinet a tiré partis des dénivelés issus des anciennes fortifications. De ces dénivelés émergent une grotte reconstituée ainsi que des belvédères.
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5 Musée des Beaux-Arts
La ville de Valenciennes inaugura son premier musée d’art dès 1834 au sein de l’Hôtel de ville. Mais l’accroissement constant des collections au XIXe siècle incita peu à peu la municipalité à envisager la création d’un bâtiment spécifique pour accueillir les œuvres dans de meilleures conditions.
C’est Paul Dussart (1865-1933), professeur aux Académies de la ville, qui en fut le l’architecte. Inauguré le 27 juin 1909, le musée aux murs de briques roses s’élève sur deux niveaux que couronne une verrière en forme de dôme. D’architecture monumentale, typique des palais des Beaux-Arts construits sous la IIIe République, il bénéficie de larges galeries, qui se déploient symétriquement de part et d’autre du grand hall central. Les espaces sont agréablement mis en valeur par un éclairage zénithal et de vastes fenêtres en façade. La décoration du bâtiment fut complétée dans les années qui suivirent son ouverture au public par les œuvres d’artistes valenciennois, parmi lesquels Lucien Jonas (1880-1947), qui peignit en 1922 la coupole du vestibule d’entrée, ou Lucien Brasseur (1878-1960) à qui l’on doit les statues dorées encadrant l’entrée principale et symbolisant La Pensée et L’Inspiration lyrique.
6 Mont de Piété et Hôtel de Carondelet
Edifié de 1622 à 1625 par l’architecte Flamand Wenceslas Cobergher sur ordre de l’archiduc Albert de Habsbourg et de l’infante Isabelle d’Espagne le bâtiment principal du Mont de Piété a proposé des prêts sur gages de 1625 à 1794 puis, sous le nom de Crédit Municipal, de 1801 à 1947. Bâti sur de solides fondations de grès, incluant en son corps des constructions du 15ème siècle du côté sud et rythmé par une belle ordonnance en briques et pierres sur trois niveaux desservis par une tour datant du 14ème siècle, le toit du Mont de Piété a cependant perdu ses deux pignons en 1793 et subi des modifications de façade côté Place Verte en 1803 puis 1843.
Juste à côté aux, n° 8 et 10 place Verte, se trouvait l’Hôtel de Carondelet, devenu ensuite le logement des surintendants puis directeurs du Mont de Piété. Il ne subsiste plus aujourd’hui au n° 10 qu’un quart du bâti de cet ensemble, soit l’un des pavillons d’angle reconstruit vers 1455 et gardant en son élévation supérieure des témoins de la fin de l’époque gothique cohabitant avec les arcs semi circulaires montés vers 1520 à l’initiative de Jean Carondelet (1469-1544), chef du conseil privé de l’empereur Charles Quint, chancelier de Flandre et de Bourgogne et ami du philosophe Erasme.
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7 Îlot Marlière, bâtiment de la Reconstruction
L’îlot n°XI de la Reconstruction dit "Marlière", témoigne du projet de reconstruction initial de Valenciennes, élaboré par l’architecte Albert Laprade et commencé à partir de 1947. Il affiche des références architecturales régionales sans renier pour autant les innovation de la modernité, notamment l’utilisation du béton pour son ossature (recouverte d’un parement de brique). Il se singularise des réalisations effectuées après 1952 sous la direction de l’architecte Jean Vergnaud, qui succède à Albert Laprade et modifie l’architecture de son plan initial de reconstruction.
En mai 1940, le centre de Valenciennes disparaît dans un incendie. 440 immeubles commerciaux sont sinistrés. Parmi les premiers réalisés, l’îlot n°XI, qui illustre la priorité accordée aux commerçants dans la reconstruction de la ville.
8 Place d'Armes et Hôtel de ville
Outre son intérêt urbain majeur, la place d’Armes est un témoin précieux pour la place qu’occupe son architecture contemporaine dans l’Histoire de la reconstruction des villes du Nord de la France après la seconde Guerre mondiale.
La place porte un toponyme rappelant une fonction militaire liée a son passé de ville de garnison ; celle d’accueillir les défilés, prises d'armes. Conformément à sa fonction initiale, elle fut d’abord désignée comme place du Grand marché. Elle est depuis les origines située au coeur de la dynamique économique de la cité et a accueilli en conséquence des bâtiments emblématiques tels que : Beffroi, Halle aux Draps, Chapelle Saint-Pierre, Halle échevinale, halle aux Blé.
Avec ces soubassements anciens, sa façade reconstruite avec talent, la qualité de la sculpture et la réussite de son extension moderne, l’Hôtel de ville de Valenciennes signé par l’architecte Vergnaud est un exemple d’architecture neuve et inventive, par le parti d’intégrer une façade du XIX° restée debout à un projet moderne. C’est un édifice composite alliant une imposante façade refaite de 1867 à 1870 par l’architecte Jules Batigny (mais qui reprend le parti de composition de celle du XVII° siècle) a de nouveaux volumes apportant une réponse rigoureuse aux fonctions : accueil du public, bureaux administratifs, pièces officiels et de prestiges, salle du conseil municipal… en plus d’être représentatif des qualités esthétiques de l’architecture moderne des années 50, c’est également un exemple réfléchi de préservation d’une mémoire urbaine (tracé de la place d’Armes et préservation de la façade), et modernisation des équipements.
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9 Sous-Préfecture de Valenciennes (dit Hôtel Pas de Beaulieu)
Cet hôtel particulier a été construit entre cour et jardin selon les canons de l’esthétique classique du XVIIIe siècle. Ce sont les bénédictins de la riche abbaye Saint-Pierre d’Hasnon qui l’édifièrent entre 1741 et 1746 à proximité immédiate de Notre-Dame la Grande, bel édifice gothique détruit à l’époque révolutionnaire. Les moines dont l’effectif reculait laissèrent rapidement les chanoinesses de Denain occuper les lieux. Après la dissolution par la Révolution des ordres réguliers, le refuge de l’abbaye d’Hasnon est vendu comme bien national. En 1822, le baron Pas de Beaulieu, un lieutenant-colonel venu s’installer dans une ville dont il devient bientôt le député, en fait l’acquisition. Ce n’est qu’en 1852 au début du second Empire que ce superbe bâtiment abrita la sous-préfecture qui ne l’a plus quitté depuis lors.
10 Maison dite "du Prévôt Notre-Dame"
Cette maison dont on peut apprécier les caractéristiques depuis la place du 8 mai 1945, est un des rares édifices du XV° siècle qui puisse témoigner de ce qu’était l’architecture civile médiévale d’influence Bourguignonne à Valenciennes. Ce bâtiment utilisant la brique illustre bien également les tendances nouvelles de la construction de cette époque. L’usage de ce qui est alors un matériau nouveau est attesté dès le XIV° siècle en Hainaut, et s’y généralisa dans la seconde moitié du XV siècle.
Le bâtiment a été construit vers 1485, par un abbé bâtisseur dépendant de l’Abbaye St-Pierre d’Hasnon, quand l'utilisation de la brique était en plein développement et que la maison de Bourgogne a remplacée celle de Bavière à la tête du Comté de Hainaut (de 1433 à 1502). En témoignent les décors de briques vernissées. L’un sur la façade principale ; simple croix de Saint-André (Bourgogne). L’autre, moins visible, sur le pignon latérale ; longue clef verticale sommée de la même croix, (référence aux armes de l’Abbaye Saint-Pierre d’Hasnon).
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11 Rue des Sayneurs
Cette rue irrémédiablement piétonne est l’une des plus étroite de la ville (2,50 mètres de large à hauteur de la maison). Elle présente l’intérêt d’abriter l’un des rares témoignages de l’habitat du XVII° siècle, héritier des manières de construire antérieures. Ce type de façade « maçonnerie et bois », remplace dès le XV° siècle, les maisons aux façades entièrement en bois, trop exposées aux incendies. De nombreuses preuves existent de la persistance de cette technique de construction jusqu’au XVII°s. (notamment des permis de construire). La maison d’artisan en chêne régional et brique portant le n°13 est inscrit au titre des Monuments Historique. Elle constitue l’un des rares témoins du paysage urbain valenciennois antérieur au XVII°s. Cette maison dans laquelle le jour ne pénètre que par l’étroite ruelle est construite sur un parcellaire médiéval et dans un quartier presque entièrement rhabillé en style classique français à partir du siège de Valenciennes par Louis XIV (1677).
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12 Église St-Géry
Bien que très remaniée (XVII°au XX°siècle), l’église St-Géry est aujourd’hui l’édifice religieux le plus ancien de la ville. Cette ancienne chapelle de couvent contruite à la fin du XIII° siècle, devient pour la première fois église paroissiale en 1793. On lui donne le nom de l’évèque fondateur du diocèse de Cambrai, auparavant attribué à une autre église disparue et située à l’emplacement de l’actuelle square Froissart.
C’est à l’origine la chapelle du couvent des frères Mineurs de Saint François dit « les Cordeliers » ( à cause de la corde qui leur servait de ceinture). Elle fut construite sur le terrain de l’ancien donjon des Comtes de Hainaut devenu sans utilité après la construction d’un nouveau palais sur un autre endroit. Cette chapelle primitive, dont ont conserve des éléments d’infrastructure et douze pilliers en pierre de Tournai avec chapiteau à crochets (inscrits au titre des Monuments Historique depuis 1946), correspondait à la grande nef actuelle. Entre 1272 et 1280, les Cordeliers y ajoutèrent le vaste chœur qui se trouve du côté de la rue St-Jean. (Les sépultures des Comtes du Hainaut qui avaient choisis de s’y faire inhumer, y occupent une place de choix jusqu’à la Révolution)
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13 Hôtel Desfontaines de Frasnoy
Cet hôtel particulier fût construite en septembre 1712 (comme l’atteste encore le cartouche millésimé situé sur la façade sur cour) par Jacques Étienne Berteau, maître maçon et architecte de la ville de Valenciennes, à la demande d’Adrien Josèphe Desfontaines de Frasnoy, pourvue de la charge de greffier en Werps (officier délivrant des actes notariés). Le commanditaire à fit graver entre chaque fenêtre du rez-de chaussé son monogramme en entrelacés doubles D.F, décors réalisé par l’illustre Antoine Pater.
Façades et toitures de l'aile sur rue et de l'aile sur cour se rattachent incontestablement à l’Architecture des premières années du XVIII°siècle. L’aménagement intérieur ; grande salle à manger au rez-de-chaussée du bâtiment sur cour y compris les boiseries qui la décorent, témoignent d’une restauration à la fin du XVIII° siècle probablement due au sculpteur Pierre-Joseph Gillet (également auteur des boiseries de la bibliothèque des jésuites). Façade, toitures et décors sont classés au titre des Monuments Historiques.
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14 L'ancienne bibliothèque et la chapelle des Jésuites
Ce grand volume abrite aujourd’hui la bibliothèque médiathèque municipale et renferme l’une des plus belles collections de manuscrits anciens de la région en provenance des abbayes. Parmi ses richesses figure la « Cantilène de sainte Eulalie », le plus ancien texte connu en langue française, rédigé vers 882. La façade principale percée sur deux niveaux de fenêtres de style Louis XIII, et d’oculis ornés de guirlandes Louis XVI témoigne de l’influence de l’ornementation française sur les architectes locaux, mais elle illustre également, la fidélité à la brique encadrée de pierres blanches, au toit d’ardoise, au pignon à gradins. Au rez-de-chaussée se situe l’ancien parloir tandis que l’étage abrite la « salle des jésuites »ancienne bibliothèque restituée dans son état initial. Elle offre aujourd’hui l’exemple français le plus complet de décoration peinte au XVIII° siècle.
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15 Les Académies
En 1782, le Prévôt Pujol de Mortry fonde à Valenciennes l’Académie, dédiée à l’étude de la Peinture, de la Sculpture, de l’Architecture et, par la suite, de la Musique. Elle est initialement installée dans l’ancien collège des Jésuites. Transformée en école des Beaux-Arts à la suite de l’ordonnance royale du 4 août 1819, riche d’une histoire artistique de deux siècles (22 Prix de Rome de 1811 à 1968), sa vocation historique était de proposer une formation dédiée à l’art (dessin, peinture, sculpture) tout en se reliant aux besoins manufacturiers locaux.
C’est en 1860 que la construction d’un édifice spécifiquement dédié à sa vocation d’école est envisagé pour libérer des salles du collège. La construction débute en 1862 sur l’emplacement voisin du collège. Les travaux sont dirigés par l’architecte municipal Casimir Pétiaux et l’édifice est livré pour la rentrée scolaire de 1864.
L’édifice abrite aujourd’hui le Conservatoire à rayonnement départemental de Valenciennes.
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16 Ancien Hôpital Général
Cette construction classique est édifiée sur l’ordre de Louis XV et sur les plans de l’architecte Contant D’Ivry, pour accueillir tous les déshérités du Hainaut, il est l’un des plus remarquables édifices civils du XVIII° siècle à Valenciennes. Le bâtiment, qui a la forme d’un quadrilatère, avec ses deux étages et un haut comble, enchâsse une grande cour en partie pavée. D’une sobre rigueur, il marie harmonieusement la brique rouge et la pierre en saillie selon l’usage régional. L’hôpital Général est actuellement transformé en un hôtel multi-étoilé.
Martin's hotelRVB72.jpg Martin's2RVB72.jpg Martin's hotel3.JPG
33 mètres de dénivelé
  • Altitude de départ : 27 m
  • Altitude d'arrivée : 27 m
  • Altitude maximum : 38 m
  • Altitude minimum : 23 m
  • Dénivelé total positif : 33 m
  • Dénivelé total négatif : -33 m
  • Dénivelé positif maximum : 6 m
  • Dénivelé négatif maximum : -8 m