Les sculptures du parc de la Rhônelle

L'art se met au vert dans le parc de la Rhônelle

En bronze où en pierre, de multiples sculptures, qu’il est facile de découvrir en totalité, ornent un jardin à l’anglaise de 5ha : 

La sensualité de La faunesse, de Vendémiaire Pavot, dont la patine s’accorde à celle des troncs verts-de-gris.

Caïn Jaloux, de Paul Theusissen, s’abîme dans un rêve, que partage l’Orphelin, d’Alphonse Terroir sur son rocher de solitude…

Le joueur de billes, d’Élie Raset, porte encore la sensibilité si fine avec laquelle le sculpteur l’a vu, tandis que Le charpentier, de René André Duparcq, domine fièrement le jardin, appuyé fermement sur sa pièce de bois.

Dans le dédale des allées de ce « musée en plein air » qu’est le parc de la Rhonelle, la rivière du même nom, ouvre une coulée de fraîcheur.